jeudi 16 juillet 2009

Retour de colo

Je pense que tout est dans le titre et ne vois aucun intérêt à résumer les onze derniers jours, parce que ça ne se résume pas, ça se vit. Point. L'euphorie n'est pas encore retombée et les inscriptions pour la poursuite de mes études sont donc passées toutes seules. J'attends encore le coup de téléphone d'un directeur des colos SNCF, puisqu'ils n'ont pas encore fini le recrutement pour aout et m'ont fait confirmer que j'étais toujours disponible. Et mon écran est couvert d'insectes nocturnes, mais ça, c'est le détail dont on se fout.

Ah oui, sinon, c'est pas encore cette fois-ci que je suis restée éveillée pour voir le soleil se lever. Mais j'ai des notes de musique qui résonnent dans la tête, comprenne qui pourra, moi je peux.

C'est parfois assez effrayant de se regarder dans le miroir quand on ne l'a pas fait depuis longtemps, qu'on ne s'est pas douché depuis un certain temps, et qu'on a passé la journée dans le car ou le train avec un nombre d'enfants décroissant, mais partant de 89 quand même. On se demande, les premières fractions de seconde, d'où sort cet épouvantail. Et puis, parfois, ça donne le vertige. Mais j'ai quand même réussi à vérifier dans le miroir, et j'ai toujours les yeux marrons.

Quant au long silence de juin, il était du à un séjour en Italie sur lequel je compte bien revenir à l'occase.

1 commentaire:

  1. Un nombre décroissant d'enfants ? Vous en avez perdus en route !? (Là je fais seulement semblant de ne pas avoir compris hein ...)

    En tout cas, contente de te lire de nouveau !

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