vendredi 22 mai 2009

C'est un siiiiiiigne!


(verdict: à reprendre et à poursuivre un de ces jours, peut-être)

Les gens qui connaissent le nom yéménite de la reine de Saba ne courent pas les rues.
Mais ce n'est pas difficile de le chercher sur google.
Et d'ailleurs, je ne suis pas Balqama.
Pas plus que Sophia n'est Evey.
Pas plus que Sophie n'est Tinùviel.

Un poète ne connaissant pas la négation ne court pas les rues.
Mais le fait que ce texte soit écrit entièrement en négation n'en fait pas un poème.
Le vent n'a pas tourné récemment, donc je ne serais pas surprise que ledit texte reçoive une réponse.

On n'imagine pas le pouvoir des négations accumulées.
Une anaphore de "ni" n'est pas seulement une figure de style, c'est un moyen de torture.
Les chevaliers de la Table Ronde ne démentiront pas.

Oh, et puis, tant qu'on y est, je ne vois pas des signes partout.

3 commentaires:

  1. Ce n'est pas un signe mais je ne déteste pas du tout ce dessin là.
    N'attendons donc pas de réponse trop tardive à cet article !

    Quoiqu'il en soit, moi je ne suis pas faite pour écrire en négation, non. Vraiment pas.

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  2. Me serais je trompée dans mon équation identitaire? Faites que non, je serais aussi ridcule que Kratos sinon...

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  3. Bon l'anarchiste, ne veux-tu pas nous dévoiler ton identité maintenant ?

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